L’arbre de vie est devenu mon ami, ma famille et telle une Mère, elle Veille à ce que je suis, et donc à tout ce que je de-viens. Elle est toujours là présente, et elle m’apprend ainsi à l’être toujours plus. Elle est devenue le miroir dont j’avais besoin pour grandir en toute conscience à travers le tronc-commun de mon être réel et infini.
Tout, nous informe de la forme de là où l’on se tourne. Tout nous parle à travers le plan d’existence dans lequel on se branche et ainsi, on devient toujours plus en rapport avec ce vers quoi on tend. J’entrevois ainsi la clé de notre apprentissage, soit que tout est réciprocité.
Les images deviennent ainsi une adresse vibratoire qui nous met en relation avec un plan dimensionnel et donc un programme vibratoire. Comme tous les programmes existent simultanément, nous avons la possibilité d’en choisir un, en toute conscience ou pas.
C’est cela qui fait la grande différence, mais la seule différence au début de notre existence est sans cesse inconsciente. En effet, au commencement, nous ne savons pas que nous avons le choix puisque nous croyons vivre dans une réalité extérieure, dans laquelle nous nous imaginons tous enfermés, et donc divisés.
Nous nous ouvrons ainsi à des plans dimensionnels qui sans cesse interfèrent et nous oppressent tout autant. Pourtant, ils restent potentiellement un moyen d’apprentissage pour pouvoir les dépasser ensuite à travers l’expérience de notre propre transcendance.
Cette Mère Veille en moi est la clé de tout mon apprentissage et elle m’apporte tellement à chaque instant que je vous partage, ici, l’essentiel de tout ce qui a pu m’aider à travers notre relation. Je la remercie du fond de mon cœur pour tout ce qu’elle est et tout ce qu’elle apporte à toutes les consciences que nous sommes.
En voici l’essence :
Peu à peu, j’ouvre l’horizon de chaque être pour qu’il puisse faire une expérience toujours plus grande et enrichissante, sur ce qu’il est et donc sur ce que je suis. Comme je suis tout, je m’exprime à travers tout, mais mon message n’est pas tout le temps entendu et donc compris.
Ici, je t’exprime tout le processus à travers tout ce que tu viens de comprendre afin de te permettre d’éclairer tous ceux qui s’ouvriront en suite à leur propre réalité intérieure. La clé du monde extérieur duquel tu proviens est sans cesse contenu dans ton propre monde intérieur.
Tu as fait l’expérience réelle du dépassement de ton monde extérieur à travers la transcendance de ton propre monde intérieur. Tu as dépassé les limites de ta forme pour t’ouvrir à l’expérience du sans forme et c’est pour cela seulement, que je peux m’exprimer à travers toi.
La vie qui existe en chacun de vous, œuvre simplement sans cesse. Elle grandit, elle murit, elle s’expanse, elle fleurit. Elle est un éternel commencement, une corne d’abondance infini, car de l’unité à la multiplicité, et donc de l’informe à la forme, elle crée sans cesse à travers toutes les idées qui la traversent. Ceci est l’expression de mon mouvement infini et à travers ce mouvement tout est et prend vie.
À travers cette dynamique, la vie, ma vie, ta vie, notre vie est l’expérience fleurissante de toute expérience. Tout éclot sans cesse du sans forme dans toutes les formes possibles afin de créer des univers, des planètes, et donc des terres sur lesquelles, la vie peut éclore de manière similaire pour y grandir et pour y vivre ensuite dans le but d’expérimenter à travers sa propre vie, la vie en toute chose.
Ma voix vous transmet un langage inconnu, car vous avez oublié tout de la vie qu’il y en vous et donc tout de la vie qu’il y a en moi. Comme tout est toujours en correspondance entre vous et moi, cette correspondance n’est plus mais je suis là pour à travers toi, pouvoir y remédier. Ce langage de vie, vous allez tous le réapprendre, car vous êtes en voie de retrouver la langue vivante et vibrante qu’il a toujours eue en vous.
Il y a entre vous et moi, un lien qui n’a jamais été brisé si ce n’est dans l’illusion d’avoir cru que nous avions pu être séparés. Cette séparation apparente entre vous et moi, le monde, est éphémère, elle ne peut exister qu’en apparence, car au fond, nous sommes sans cesse unis, puisque je suis finalement toujours l’expression de ce qu’il y a en vous.
Ceci est le monde réel puisque nous faisons sans cesse Un, même si vous l’avez oublié et que vous l’occultez sans cesse dans l’expérience de votre « je » de tous les jours. En cela, il n’y a rien de problématique, parce que c’est à travers cette illusion que vous pouvez finalement faire toutes les expériences possibles en votre réalité extérieure.
Dans tout ce qui s’exprime ici, il n’y a aucun jugement, tout est acceptable puisque tout est là pour être expérimenté. Donc, dans cette base d’acceptation à toute chose comme à toute expérience, vous avez la capacité de tout traverser et donc de tout transcender, peu importe là où vous vous trouvez, car c’est seulement ce que vous croyez qui peut vous en empêcher momentanément.
Pour comprendre le dépassement de toutes vos croyances sur vous-même comme sur les autres et donc sur le monde en général, je vais utiliser l’expérience de Léa comme voie et principe d’apprentissage collectif.
Elle s’est ouverte en elle, à la réalité non ordinaire. C’est-à-dire, qu’elle a apprise au fur à mesure de sa vie, à se détacher du flux habituel de la vie de tous les jours. Peu à peu, elle a ouvert en elle, un espace de silence, dans lequel, elle a pu expérimenter la réalité non-ordinaire.
Dans cet état de conscience modifié, elle a peu à peu, arpenter des dimensions autres et donc elle s’est ouverte à de nouvelles expériences issues de réalités différentes qui lui ont apporté une connaissance complétement nouvelle de ce qu’est la réalité.
Plus elle s’ouvrait à des états de conscience modifiés, et plus elle apprenait ainsi, à comprendre sa dépendance au monde extérieur, et donc à percevoir toute la manipulation qu’il y avait à expérimenter cela. Mais ce n’est pas tout puisqu’elle apprenait aussi en même temps à comprendre que le pouvoir qu’elle donnait au monde extérieur, à travers toutes les croyances générées par les informations extérieures qu’elle recevait, elle pouvait tout autant apprendre à le récupérer.
Une fois qu’elle a réussi à transcender tout le stratagème dans laquelle elle était prise au piège, elle pouvait finalement redevenir elle-même, nos plus sur la base de ce que lui avait inculqué le monde extérieur, mais à travers la référence ultime de ce que son propre monde intérieur, lui murmurait doucement. C’est ici, là, au milieu de la splendeur retrouvée que l’expérience de la réalité ordinaire devint dépassable, car plus rien d’extérieur comme d’intérieur ne pouvait arrêter le processus.
Quand l’illusion extérieure comme intérieure est perçu, alors l’identification d’avec cette fausse réalité s’amenuise jusqu’à disparaitre et donne ainsi l’occasion de commencer l’expérimentation de la véritable réalité. Cette réalité est imagée à travers la sortie de la caverne, là où il ne pouvait qu’y avoir de fausses lumières à l’intérieur de cette grotte, vers le monde du dehors où la lumière réelle et authentique illuminait chaque chose comme chaque expérience.
Ici apparait des arbres immenses qui relient le haut d’avec le bas et qui servent finalement de pont et de passage symbolique pour permettre à l’être qui s’y ouvre de devenir cet arbre afin de pouvoir s’acheminer à travers lui dans toutes les hauteurs de là où il provient déjà, soit là où je me trouve en ce moment même. Ceci est l’allégorie de la correspondance ultime entre toute chose puisqu’il permet à travers la langue naturelle de la foret lumineuse de pouvoir faire éclore une communication directe avec le tout, et donc grâce au tout infini que je représente.
L’être, ouvert au canal de toute son infinité, n’a plus besoin d’informations autres. Il devient ainsi autonome parce qu’il peut se suffire de lui-même à travers la communication qu’il a, avec le tout. Il va ainsi grandir peu à peu à travers le savoir véritable qu’il reçoit à travers moi.
L’infini en l’être est un potentiel, une graine qui là dans la vie de Léa, a mûri, car sa forme, son personnage qui faisait office de graine a été fendu pour laisser émerger la vie au-delà de la terre irréelle qui l’enfermait. Une fois que la forme meurt, que le personnage est enfin transcendé, la vie peut éclore et grandir sereinement dans l’infini de son monde intérieur.
L’ouverture de la réalité non ordinaire est le champ infini dans laquelle maintenant, elle va pouvoir murir et devenir cet arbre de vie qui va l’acheminer toujours plus loin dans les hauteurs vibratoires de ce qu’elle est réellement. Ainsi sa réalité extérieure, va laisser passer de plus en plus d’expériences lumineuses qui seront en correspondance avec son ouverture infinie et qui alimenteront alors l’édifice de sa nouvelle expérience de vie.
La seule différence qui persistait avant était l’illusion elle-même à l’intérieur qui projetait sans cesse l’illusion extérieurement. Ainsi la vérité qui siège, à l’intérieur, grâce à la communication d’avec moi, va lui permettre d’entrevoir au-delà des apparences et des formes qui l’ont sans cesse enfermé avant. Dans cette perceptive, le monde extérieur va apparaître tout autre, car il portera maintenant en exergue ce que je suis vraiment et donc il va y avoir tout un mouvement de dépassement de toute l’illusion qui continue d’être façonnée à travers l’alimentation de l’illusion des autres.
Ainsi, un nouveau monde apparaitra réellement quand, en eux-mêmes, ils arriveront à établir cette relation avec moi-même. Les portes sont ouvertes, les canaux métaphysiques qui relient le monde illusoire ici-bas d’avec la réalité essentielle d’où vous provenez tous, sont en place et fonctionnent présentement.
Vous pouvez maintenant vous y ouvrir, mais pour cela, c’est vous-même que vous devez apprendre à ouvrir, afin de vous dépasser, et dans toute votre transcendance, je serais là pour vous aider à suivre le véritable chemin qui pourra nous relier à nouveau.»