Une fois que tu as appris à dépasser toute la lourdeur et l’apesanteur de ton océan mental, tu t’élèves dans un air nouveau. S’ouvre en toi alors, une réalité complétement insoupçonnée. Tu émerges peu à peu de toutes ces eaux, à travers toute ta légèreté, dans un espace sec où l’air est si frais. L’eau coule encore sur ton corps énergétique, elle s’écoule doucement tout le long de ton être et goutte à goutte retombe dans son élément.
Comprends bien ici une chose, il n’y a pas un monde qui existe, mais seulement des perceptions du monde par rapport à là où tu te trouves vibratoirement. Tu vibres ici à hauteur du ciel, à hauteur des nuages qui siègent dans l’infini espace de tous les possibles.
Tu tends vers ta propre lumière, comme tout être tant vers son propre soleil. Là, l’appel du feu vivant entraine chacun à dépasser tous les freins qui les contiennent encore. Tu es dans le milieu dans lequel tout devient possible, car là, en cette réalité, plus rien ne dévie ni diffracte tout le rayon de ta propre lumière. Ainsi, tu peux entendre de nouveau la voix de ta propre vérité.
À ce niveau vibratoire, le mental devient un outil utile pour continuer à communiquer avec ceux qui sont encore sous l’eau dans le monde de la forme, et donc dans toute la dimension astrale. De là où tu es, ils pourront enfin voir un véritable reflet de ce qu’ils sont réellement, comme tu te trouves au-dessus de l’horizon des évènements, tu pourras être le miroir de ce qui est et non plus de tout ce qui paraissait en contre bas.
Tu sais, tout aussi vite que l’éclair venant transpercer le ciel dans lequel tu es. Puisqu’en fait, tu es l’éclair même, car c’est ton rayon source de lumière qui part du monde originel vers la réalité dans laquelle tu es pour transpercer de toute sa compréhension, l’incompréhension dans lequel tu pouvais encore te trouver .
Comme tu es tout, tout est là pour t’apporter finalement tout ce que tu as besoin de savoir pour avancer toujours plus vers une meilleure compréhension de toi. Tu es encore dans la nuit de ton être, et là dans ce ciel étoilé, il manque encore tout l’éclat de la lueur de ta lumière afin de pouvoir éclairer et donc interpréter qui tu es complétement dans ce grand tout.