Quand nous déposons toutes nos croyances et que nous nous abandonnons totalement à tout ce qui nous dépasse, nous passons à un autre plan de réalité qui n’est plus basé sur les dimensions inférieures, là où opère constamment la matrice mais nous nous ouvrons au champ infini de notre être réel. Dans ce milieu tout est diffèrent et nous allons peu à peu nous laisser guider pour réapprendre comment être en ce monde infini.
Il n’y a plus de tensions car les désirs ont été balayé à travers la compréhension de l’illusion qui les gênerait. Il n’y a plus besoin de tendre vers puisque nous nous sommes trouvés. Nous avons trouvé en nous-même tout ce qui est, et ce tout en nous même nous remplit de toute sa présence, de toute sa conscience, de toute sa chaleur, de toute sa lumière, de tout son amour, de toute sa vie et ainsi nous nous ouvrons à la joie d’être ce que nous sommes.
Dans cet état, l’être n’est plus soumis à l’influence du mental et ainsi il désactive peu à peu tout le champ émotionnel inférieur qui le tenait et le plombait par ses griffes dans les bas-fonds vibratoire. Dans cette ouverture il expérimente la légèreté du soi total car peu à peu les limites du personnage, de l’ego, de sa forme s’estompent pour lui permettre de s’ouvrir à toute la hauteur de la réalité de ce qu’il est.
Il ressent de plus en plus en lui grandir une puissance, une énergie qui le nourrit de l’intérieur et lui insuffle un savoir qui dépasse l’entendement. Il s’ouvre à l’être de son être, il se nourrit de l’être de son être ; il grandit dans l’être de son être à travers une compréhension qui dépasse les limites conceptuelles du monde dans lequel il était enfermé.
Dans cette manière d’être, tout coule de source, tout se fait naturellement et ainsi tout est simple car plus rien ne s’affronte puisque tout est redevenu UN. Dans cette unité, l’être retrouve son pouvoir total et il comprend peu à peu pourquoi il a vécu dans toute son impuissance, pourquoi il a vécu dans toute son ignorance, pourquoi il devait vivre tout ça afin de pouvoir retrouver ensuite en ce monde fini toute son infinité.
Vivre dans tout ce qui nous dépasse ne peut être compris avant de commencer à ressentir l’être de son être car sans cette ouverture de conscience, l’être reste perdu dans tout le jeu de ses propres croyances qui l’enferment dans une projection inconsciente à travers tout un univers fictif. Les mots retranscrit ici sont incompréhensible pour la plupart car ils vont à l’encontre même de leur perception du monde.
Ainsi j’écris pour tout ceux qui s’ouvrent à l’instant présent et qui sortent peu à peu de tout ce temps imaginaire dans lequel le monde entier c’est laissé engouffrer. Comme tout est inversé tant que l’être n’a pas commencé à œuvrer en lui pour déblayer tout ce qui le bloque, son champ perceptuel ne pourra comprendre réellement ce qui est écrit ici car cela ne rentre pas en correspondance avec toutes ces possibilités du moment.
Il est important de comprendre ces différents niveaux de perception car quand on parle cette langue de vie à ceux qui ne sont pas prêt, elle en devient amère, irritante voire même déstabilisante. C’est pour cela qu’il faut poser les choses, ne jamais les imposer, car la vie est ainsi faite que tout vient à point à qui sait attendre, soit que tout se fait toujours en correspondance avec ce que l’être a besoin de vivre, de comprendre.
Ainsi dans cette optique, on ne peut que suivre les procédés naturels de la vie et pour cela je pose toujours les choses sans jamais les imposés, je les propose afin que celui qui les reçoit, ai la possibilité, la liberté totale de recevoir à sa propre mesure.
Dans cette équivalence, j’apprends autant en moi quand l’autre puisque je suis pareil avec moi-même comme avec autrui. Ainsi je suis l’élève de la vie tout en étant mon propre professeur avec les autres comme pour moi-même. Dans cette immense école de la vie, tout s’apprend dans la joie et la bonne humeur puisque tous, nous sommes en train de suivre la voie de notre propre réveil.