Vous êtes enfermé telles des poupées gigognes dans vos propres histoires personnelles… de l’enfant à l’adolescent, du jeune adulte à parent, chaque masques sont comme un habit que vous avez porté un temps, chaque vêtements se retrouvent encore en vous et constituent un maillage, une mémoire et donc une structure sur laquelle vous émergez.
Vous ne le savez plus mais vous êtes une multitude, une floraison de vie et d’histoires qui vous ont arrosé jusqu’ici pour que vous puissiez être ce que vous êtes devenu ! A cette moitié du chemin ne vous arrêtez pas car vous ne voyez rien de ce que vous êtes vraiment mais vous avez vu tout ce que vous ne vouliez plus vivre.
La problématique à ce point du parcours est que tant que vous resterez focaliser sur tout ce que vous ne voulez plus vivre et bien vous continuerez de l’expérimenter car votre focalisation constante l’alimente et la réactualise sans cesse. Vous êtes comme inexorablement attiré par tout ce qui vous dépassent et tout se que vous ressentez d’extrême engendre une dépendance envers toutes ses sensations néfastes.
Cette ouragan planétaire vous emmène vers l’inconnu, vers le farfelu, vers l’insondable réalité mouvante qui vous pousse à réagir mais comment allez-vous réagir ? Là est toute la question ? Car votre réaction suivra toujours les routes de votre vision du monde !
Alors qu’elle est votre vision du monde ? Qu’elle est votre manière de voir tout ce que vous voyez à l’extérieur ? Pour finir ou est votre regard, à l’extérieur ou à l’intérieur ?