Science sans conscience n’est que ruine de l’âme

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme

Les fondations de la réalité de ce monde sont basées sur une science complètement inversée, insensée, c’est-à-dire une science qui est utilisée pour asservir la conscience, l’esprit, l’âme et tout ce que nous sommes. Toute la technologie que nous connaissons est depuis longtemps dépassée d’au moins un siècle, c’est dire l’avance qu’ils ont technologiquement sur nous.

La connaissance est la seule richesse de ce monde et ils le savent très bien. Un petit nombre possèdent cette connaissance occulte, cette science qui dépasse de tellement loin ce que nous pouvons imaginer, que nous ne sommes pas capables de comprendre ce qu’ils peuvent en faire.

Nos connaissances sont devenues nos propres conditionnements qui nous empêchent de percevoir ce qui se passe concrètement en cette terre comme dans toutes les autres dont nous ne connaissons même pas l’existence. Finalement, tout ce que nous savons n’est-il pas l’arbre qui cache la forêt ?

Cette connaissance est pourtant préjudiciable dans leurs mains car ils sont inconscients de ce qu’ils font et de leurs pertes à venir. Ils pensent posséder une connaissance absolue, mais il n’en est rien, puisque cette connaissance n’est que le fruit de l’asservissement des consciences. Ils ne peuvent alors imaginer que la seule science qui soit, soit celle qui élève les êtres et donc celle qui les libère de tout, appartient à tous…

Cette connaissance occulte, par contre, les enferme dans un délire illusoire de se prendre pour des géants ou même des dieux. Ils ne sont rien de ce qu’ils croient et ce qu’ils croient sera ainsi sans cesse leur perte. C’est leur chemin, mais nous ne sommes pas là pour le suivre. Tout au contraire, nous sommes là pour faire émerger tout ce qu’il nous cache à travers leur voie de perdition dans notre propre expérience.

Nous nous devons de prendre conscience de leurs voie illusoire ! C’est seulement ainsi que pourra alors éclore notre propre chemin, qui sera une voie de sortie sûre de ce monde démoniaque.

La science sans conscience n’est que ruine de l’âme et c’est exactement ce qu’ils veulent, ce qu’ils cherchent, ce qu’ils expérimentent. Ils veulent nous couper de notre âme, de notre conscience, et donc de notre source afin que nous soyons éternellement asservis par eux. L’asservissement a atteint un degré jamais atteint sur notre terre et cela commence à exploser de toutes parts.

Nos consciences, nos âmes sont depuis longtemps assujetties à l’illusion qui règne ici, mais à présent ce sont nos corps qui deviennent le nouveau cheval de bataille, le nouveau champ d’expérimentation.  L’infiniment petit utilisé à travers l’IA permet de s’immiscer dans nos cellules, dans nos organes comme dans nos systèmes vitaux afin de se transplanter en nous pour, in fine, les remplacer.

À travers cette technologie, ils peuvent littéralement lire tout ce qui se passe dans notre corps, nos émotions, nos pensées, et ils peuvent aussi les induire et les manipuler. Nous sommes ainsi devenus des êtres piratés mentalement et maintenant corporellement. Ceci est là, en cours d’expérimentation sur la majorité des êtres humains, sans que peu de personnes en prennent réellement conscience.

Tout est relié par les ondes et tout est orchestré par des intelligences artificielles. L’être humain n’est plus utile finalement au système et, pour cela, il va peu à peu disparaitre ou être modifié génétiquement comme technologiquement. L’intelligence de la vie est maintenant mise aux oubliettes, puisque des êtres humains sous influence astrale se prennent pour des dieux en modifiant l’essence même de la vie et la remplaçant par l’intelligence artificielle.

La vie, toute vie sur terre, a été vendue, et dans ce monde où tout s’achète, le marchand en est le roi. L’inversion totale de la vie atteint un degré dément, et pour cela, il se passe les pires choses inimaginables sans que tous puissent le comprendre. Le monde, la vie, l’être humain, l’eau, l’air sont devenus de simples marchandises, de simples rouages d’asservissement, et ceux qui le savent, c’est eux qui les exploitent et font des bénéfices sans fin.

Dans ce monde conditionnable, toutes les conditions sont bonnes pour arriver à leurs fins, et c’est pour cela que les sciences, les technologies comme toutes les intelligences sont toutes orientées à des fins mercantiles et donc à des fins d’asservissement. Le degré de conditionnement actuel est à son apogée et tout est mis en place pour que cela continue indéfiniment.

Le défi, en réalité, est pour celui qui comprend que tout ce que nous voyons n’est que de la poudre aux yeux pour nous empêcher de prendre conscience de ce qui se passe réellement. Toutes les histoires qui passent sur tous les écrans de contrôle de ce monde sont là pour happer notre attention et que nous n’ayons jamais le temps ou le loisir d’apprendre à désapprendre.

D’apprendre à nous déconditionner de ce conditionnement incessant ! Tant que nous sommes pris par les jeux et les histoires du système, nous sommes dans l’arène virtuelle de ce monde infernal. Tout est là pour nous remplir ! Nous remplir la panse, et cette arène est l’ultime dynamique d’asservissement !

Ils nous remplissent constamment de tout et n’importe quoi et nous empêchent ainsi de pouvoir faire une expérience du vide. L’expérience concrète du vide de notre vie. L’expérience directe du vide de sens et de signification de tout ce que nous recevons sans cesse. Ici, dans cette arène virtuelle, il n’y a qu’un but, il n’y a qu’une loi : prendre du plaisir, seulement du plaisir, même infime, minime, fugace ; seul le plaisir est roi.

Et c’est ce plaisir, même si fugace, qui est devenu le conditionnement terrible de cette faim de temps. Le monde est là, dans l’arène de tous ceux qui se projettent en eux, alimentant leurs propres projections mentales afin d’avoir encore plus de plaisir.

Tout est là pour notre seul plaisir, car seul notre plaisir est réel ! C’est lui qui nous alimente et qui nous permet de nous sentir un peu en vie, mais pas trop. Pas pour sortir de l’arène, mais juste pour nous y enfermer à jamais. Voilà cette arène de plaisir qui est l’abîme finalement dans lequel l’être humain se perd, puisqu’il est programmé, conditionné à travers tous les petits plaisirs qu’il ressent, qu’il recherche et qu’il attend.

Face à ce plein tonitruant, on a besoin de vide. Ce vide est là dans notre expérience, il est accessible même si tout est fait pour que jamais on ne puisse l’expérimenter, puisque le monde nous remplit la panse comme les pensées aussi. Tout est là pour notre conditionnement ! Tout est là pour nous alimenter ! Tout est là pour nous incarcérer dans cette arène !

C’est à nous de chercher ce vide. C’est à nous de faire des expériences vides de tout, vides de condition, vides de désirs, vides de pensées. Sans cette capacité d’expérimenter le vide en nous, nous ne pourrons qu’être sans cesse remplis et projetés dans cette arène infernale, matricielle.

La technologie algorithmique à travers nos téléphones ne fait que ça, elle est cette arène virtuelle mise devant nos yeux, matin, midi et soir, sans que jamais nous puissions comprendre que le conditionnement opère sans s’arrêter en nous à travers tout ce que nous faisons dedans.

Tout est là pour notre conditionnement ! Mais ce conditionnement est possible seulement ; exclusivement quand on nous remplit, quand on nous emplit. Quand on ne se laisse plus remplir, on sort de l’arène et alors on rentre dans sa propre arène virtuelle. Dans cette arène mentale qui a été alimentée depuis l’adolescence en nous.

Ici, même processus, même conditionnement, même plaisir, et c’est là où il faut aller, car le combat est réellement là, pour sortir de tous nos conditionnements. Pour sortir de toutes nos attentes, de toutes nos recherches, de tous nos désirs, de tout ce que nous croyons avoir besoin pour être. De tout ce qui s’est construit en nous à travers un conditionnement millénaire. Ce tout, on peut le voir quand il n’y a plus rien en nous, et alors on peut sentir le vide de sa vie et ainsi ne plus le suivre, ne plus le vivre, ne plus le laisser agir à travers nous.

Aller à la barre d’outils