En quête symbolique

En quête symbolique

Nous rentrons maintenant dans le vif du sujet, dans le feu brulant de l’utilité de tout ce que nous vivons comme dans la possible émergence de toute sa merveilleuse signification. Les sages d’autrefois appelaient cela, trouver la substantifique moelle, soit l’essence secrète de la vie.

La première fois qu’est apparu ce terme, est dans un livre qui traitait d’un géant d’autrefois. Il a été écrit, transcrit pour permettre à tous d’atteindre la vision des géants. D’aider l’être à se hisser dans toutes ses hauteurs vibratoires, lui permettant alors d’englober le tout, dans un tout intelligible.

Nous avons oublié, dans nos vies dites civilisées, que dans ces vieux livres, tout n’était pas traité de la même manière qu’aujourd’hui, puisque la forme était utilisée comme moyen de multiples expressions. Ainsi, elle contenait toujours un fond non apparent, non signifiant, dans lequel il y avait différentes strates accessibles.

Il contenait, dans sa substantifique moelle, l’essence des choses secrètes et pour cela, il disait sacré. Tout cela n’était jamais caché, et pourtant jamais apparent, afin que celui qui s’y ouvre, face l’effort nécessaire de pouvoir l’atteindre pour pouvoir s’y abreuver enfin. Ce procédé initiatique, permettait de faire grandir l’être en lui-même, de l’aider à se rectifier afin de pouvoir être assez ouvert pour laisser passer l’authentique lumière.

Ainsi, cette lumière qui rentrait en lui, lui donnait toute la révélation de ce qui se cachait dedans, tout en exprimant aussi, le procédé naturel qu’utilise la vie pour faire éclore la nature et toutes les fleurs du monde. Cela apportait, à celui qui s’y ouvrait, une corne d’abondance.

Ainsi, ces livres, ces contes et même ces mythes de l’ancien temps, n’étaient pas que des mots ou des idées, mais surtout, des coffres-fort, des porteurs de trésors de l’ancien temps. Ils sont en effet toujours remplis à foison de merveilles et surtout d’intelligence divine.

Ils étaient conçus pour protéger le savoir divin afin que ceux qui viendraient ensuite et qui arriveraient en décoder les sens pourraient alors l’utiliser pour le bien commun. La forme dans les créations de l’ancien temps était sans cesse un écrin pour cacher à la vue de ceux qui n’étaient pas près, toute la sagesse infinie qu’ils avaient su trouver dans leur nature.

L’artiste, comme les artisans d’autrefois, utilisait leurs arts pour transmettre leurs propres visions. Cette transmission s’exécute toujours sur plusieurs niveaux, permettant à celui qui en fait l’expérience de pouvoir être hissé plus haut que de là où il arrivait. L’artiste authentique, traditionnel, était un initié des forces de la vie.

C’est bien plus tard que tout a été perverti et utilisé dans son sens le plus contraire, soit faire descendre encore plus les êtres. Nous sommes en ces temps incertains, au plus bas, de ce qui se fait naturellement et nous avons le choix de pouvoir transcender ces influences néfastes et délétères.

Ce que je t’écris, est là pour cela, pour t’aider à voir plus clair et surtout pour que tu apprennes à ne plus dépendre de quiconque. Tu es un être libre, infini et puissant et cette liberté, cette puissance, tu la donnes sans jamais comprendre pourquoi.

Ces êtres d’un autre temps peuvent encore t’aider, ils m’ont appris tellement et surtout, ils m’ont appris à voir au-delà de tout ce que l’on nous montre. Ils m’ont fait comprendre comment expérimenter ma propre nature, et donc ma conscience, afin de toujours plus l’élargir et de comprendre enfin comment la vie agit en nous.

Ce procédé magnifique fut trouvé en regardant comment fonctionnait la nature. À force d’expérimentation, d’observation, ils comprirent que le monde fonctionne de cette manière, puisque notre réalité cache toujours en son sein toute sa substantifique moelle qui est l’agent qui agit et pousse à évoluer.

Tant que tu ne perçois pas encore cet agissement souterrain, c’est que tu es trop grand, car là où tu te crois être, tu ne peux accéder à son sein. Tu dois apprendre à tomber de ton piédestal. Tu dois apprendre à être de nouveau tout petit et tel un enfant, t’ouvrir à la nature qui est en toi.

Ainsi, celui qui arrive à ouvrir un texte fermé, peut tout ouvrir. L’ouverture est toujours la clé, mais il est à chacun de nous de pouvoir rectifier en nous ce qui nous barre le passage à notre propre lumière. La lumière est partout agissante, signifiante, mais comme nous sommes totalement fermés à nous-mêmes comme au monde, on ne peut plus l’apercevoir et donc on ne peut plus s’y nourrir.

Comme cette lumière est en toute chose, si on arrive à l’apercevoir en l’autre, en ce texte ou même en ce monde, on peut finalement s’y ouvrir sans cesse. Puisque l’on ouvre en nous ce qui permet de l’apercevoir en tout, alors tout devient lumineux puisque tout est lumière.

C’est juste que l’on n’avait pas réussi à l’allumer en soi afin de l’allumer partout. Ce texte est là pour que tu puisses apprendre par toi-même, à allumer la lumière qu’il y a dedans dans le but de pouvoir ensuite faire de même en toi. C’est aussi simple que cela !

Nous sommes tous un tout qui s’ignore et nous sommes ainsi tel un symbole déposé sur la trame de notre réalité. Nous sommes, en réalité, un symbole perdu que nous devons réapprendre à décoder afin de suivre ce jeu de piste qui nous orientera vers le tout que nous sommes vraiment. Ce tout est cet infini, cette lumière, cette onde de vie d’où nous provenons tous et d’où nous avons oublié que nous y sommes encore sans cesse. Nous sommes ainsi sans cesse reliés à elle, puisque tout ce qui émerge de soi, provient de là et la lumière est sa manifestation en nous comme en toute chose.

Comme nous ne savons plus qui nous sommes, nous sommes devenus une partie du jeu qui s’est totalement perdue au milieu des autres, cherchant désespérément un moyen pour retrouver le chemin de sa maison, de son royaume, ou de sa réalité originelle. Cette partie que nous sommes, est en quête de quelque chose, sans savoir vraiment quoi, mais dont on peut dire que c’est de pouvoir retrouver simplement sa voie. Tout coule de source, mais quand on oublie la source, on peut finalement croire que ce qui coule en soi, provient d’autre part, et c’est bien le cas.

Tant que nous ne comprendrons pas comment fonctionne cette partie, nous n’aurons pas les cartes en main pour pouvoir y jouer, simplement. Nous sommes dans un jeu pipé de l’extérieur et pire de l’intérieur tout autant. Nous croyons connaitre les règles du jeu, mais en fait, ce que nous savons, est ce qui nous illusionne et nous enferme en même temps. C’est un piège qui se referme peu à peu sur soi, sans que l’on puisse comprendre ce qui nous arrive.

Ce courant d’idées est là pour te permettre d’entrevoir comment fonctionne ce jeu et donc comment l’utiliser pour en fin de compte, une fois compris, suivre les signes et les pistes qui sont sans cesse accessibles, mais dénaturés par notre compréhension bien trop limitée. Nous sommes limités à ce que nous croyons, puisque la partie que nous prenons pour nous, ne perçoit pour l’instant qu’une image inversée, déformée de ce que l’on est vraiment et donc de ce qui se passe dans notre réalité.

Pour comprendre l’inversion de ce que l’on perçoit sans cesse, on doit aller au cœur du symbole et donc au cœur du problème de notre existence, car tout peut se révéler à partir de là. Le cœur du symbole est tout ce qui nous manque à percevoir complètement, puisque nous ne voyons qu’une partie inversée de ce qui se présente à nous.

Qu’est-ce qui se présente à nous ? La vie sans cesse est là, nous apportant constamment tout ce que nous avons besoin de vivre pour grandir en conscience. Mais nous ne la voyons pas, puisque nous ne voyons qu’en nous son reflet inversé et donc falsifié.

Tant que nous resterons ancrés dans cette perception inversée, nous serons aux prises à la manipulation infinie d’êtres infernaux qui utiliseront toute cette inversion contre nous, afin que nous y soyons, à jamais illusionner et donc constamment enfermés. C’est tout le paradoxe de notre existence dans ce monde chaotique ! Mais peu importe leur manège, un jour, nous serons retrouvés le centre de cette ronde infinie afin de nous échapper de cet enfermement incessant.

Notre réalité est un symbole dans son sens premier, il est une partie d’un tout coupé en deux en vue de pouvoir se reconnaitre quand ils arriveront enfin à pouvoir reconnecter entre eux afin de retrouver le sens et donc la signification de ce qu’ils étaient au départ, avant qu’ils se séparent. Nous sommes ainsi une partie coupée qui attend de reconnaitre l’autre partie pour ne plus faire qu’un et pouvoir laisser émerger sa signification essentielle.

Cette image est essentielle à comprendre, car tout dans notre réalité se base dans cette dynamique d’emboitage continuel, et comme cela n’arrive jamais, cela se répète à l’infini, à travers d’autres manières, ou d’autres possibilités, pour pouvoir y arriver enfin. Alors, nous nous emboitons avec ce qui provient du bas astral et qui crée un symbole occulte tout en générant un charme magique qui nous enferme en son sein.

Nous expérimentons alors le contraire de ce que l’on devrait vivre car l’inversion s’actualise sans cesse, permettant l’équilibre et l’expression du tout. Tout suit des lois et des mouvements utiles au tout. Le but de ce que nous vivons est de pouvoir nous réunifier dans ce tout dont nous nous sommes fragmentés, séparés, éloignés, mais en toute conscience.

Nous sommes en puissance « de ce TOUT » mais en acte, nous ne restons pour l’instant qu’une partie différenciée de ce tout, ne comprenant plus rien de ce tout en nous, et de tout ce que cela signifie. Mais comme « tout est Un pour faire les miracles de la chose unique », tout se met en branle pour pouvoir y arriver à la fin de notre vie temporelle.

Nous vivons actuellement à travers une vision temporelle et donc artificielle qui nous élance en ligne droite vers l’après. Nous nous mouvons tous en cette réalité illusoire, à travers des voies et des routes temporelles et éphémères. L’illusion est notre règne et nous ne voyons et comprenons que l’illusoire, puisque symboliquement, nous ne percevons qu’à travers l’esprit astralisé qui ne peut voir qu’en bas puisqu’il est comme coupé du haut.

Toute notre réalité actuelle est ancrée dans toutes ses voies illusoires et chacun de nous en suivons une et parfois d’autres, mais elles restent des conduites éphémères. Tout ce que nous expérimentons, extérieurement comme intérieurement, est créé à dessein et dans le but inavoué pour que nous continuions de suivre sans cesse toutes ces voies illusoires, puisque c’est à travers elles que la réalité s’actualise et se crée constamment.

C’est l’essence de notre enfermement, puisque tout est fait pour que nous soyons sans cesse lancés dans ce courant illusoire. C’est la dynamique même de notre propre enfermement ! Cet enfer permanent est possible seulement parce que nous ne savons plus trouver cette lumière dans notre expérience afin qu’elle puisse nous révéler notre expérience non lumineuse.

Cette lumière ne peut apparaitre que lorsque nous arrivons à faire la liaison d’avec le haut, car cela permet de la faire descendre dans notre expérience. Tout le jeu mis en place, a été de nous couper de cette hauteur afin de ne plus pouvoir s’éclairer soi-même, mais seulement par des fausses lumières extérieures et de dépendre à jamais de leurs fausses lueurs.

Tant que cette lumière ne pourra pas éclore dans ton expérience, tu seras obligatoirement pris dans les filets infinis de toutes ces routes illusoires qui seront là, sans cesse, pour te perdre. Cette lumière est pourtant partout, mais comme on nous apprit à ne plus la voir, ou du moins à ne plus la reconnaitre, on ne peut plus la percevoir, pire, on nous a fait croire qu’elle n’a même jamais existé.

Nous sommes un tout vibratoire et dans ce tout, il y a trois strates qui permettent d’expérimenter le tout dans la partie. Il y a la partie essentielle, tout en haut du champ vibratoire, c’est là où sont les sens de toute conscience, comme la source de ce que nous sommes.

Ensuite, il y a la strate énergétique qui permet de tout lier entre le haut et le bas ou nous sommes enfermés. C’est l’expression de l’unité qui permet de pouvoir tout expérimenter en étant sans cesse reliés les uns les autres au tout.

Enfin, il y a dans la dernière strate : la forme, qui permet au tout de pouvoir expérimenter dans des mondes infinis, des multivers et des dimensions sans fin. Nous sommes, nous, dans les bas-fonds de cette strate finale et ultime. Dans cette partie existent des sous-parties comme l’astral qui permettent de créer l’opposition, là où existe l’union. L’astral est la dimension du mental inférieur, là où tout peut être perverti puisque tout est inversé dans ses eaux.

Dans les eaux usées de notre mental, nous ne sommes plus en capacité de faire l’expérience de cette lumière puisque nous sommes sans cesse enfermés dans l’étroite expérience de toutes nos croyances qui nous en coupent l’accès. Cette expérience déstabilisante crée en nous une noirceur, et une lourdeur qui nous enfonce sans cesse dans les profondeurs énergétiques de notre réalité.

Cette réalité est un tout, dont nous faisons l’expérience illusoire à travers notre propre séparation. L’expérience lumineuse est là pour nous permettre de retendre vers cette unité, elle est la voie du retour à notre maison et donc à notre royaume.

Comme tout est sombre, là où nous sommes, nous ne savons pas comment nous orienter et donc nous ne savons pas comment aller vers ce qui est utile pour nous. Tout au contraire, comme tout a été dupé, tout ce que l’on nous a appris fut là pour nous perdre toujours plus. Ainsi, il est important de comprendre que notre propre fonctionnement est non naturel puisque totalement artificiel et que cet artifice est là pour nous enfermer toujours plus.

À travers cette compréhension, nous ne pouvons plus continuer de fonctionner de cette manière. On doit apprendre à tout désapprendre de notre façon de vivre et pour cela, cette expérience toute lumineuse est là pour nous y aider. Cette aide est là, déjà présente, mais comme nous ne sommes pas présents à notre expérience, nous ne pouvons pas nous y ouvrir simplement. Ceci est le pallier le plus important à passer, puisqu’une fois réalisé, tout se fera naturellement.

En effet, une fois que l’on est sorti du flux illusoire de ce monde qui sans cesse nous éloignait du centre, source de notre être authentique, le mouvement s’inverse et tend alors vers le point du cercle à travers une dynamique spirale. C’est là où l’on va apprendre à s’ouvrir à une vision essentielle et donc symbolique.

Cette vision, cette perception permettra d’intégrer ce tout que nous sommes. Une fois intégré, et donc à partir du moment où l’on retrouve l’expérience de la lumière au centre, on s’ouvre à l’expérience unitaire. Cette expérience permet de s’ouvrir à une vision unitaire et donc s’entrouvre une compréhension holographique de tout ce que nous expérimentons.

Voici les différents paliers que l’on devra arpenter pour retrouver le chemin de la maison, de la source de ce que nous sommes réellement. Il est important de comprendre que personne ne viendra te dire quoi faire ou où aller, puisque tu es toi-même, la seule personne qui peut suivre ton propre chemin. Parce qu’en réalité, ton expérience est le chemin quand tu t’ouvres à lui et que tu ne te laisses plus enfermer par tout l’astral qui s’ensemence en toi.

Donc ici, c’est un chemin de vérité face à toi-même et à toutes tes contradictions en vue de réintégrer ta totalité qui est « UN ». Nous sommes déjà ce UN mais nous n’en faisons plus l’expérience, puisque nous sommes focalisés sur l’écran de contrôle de toutes nos pensées.

Quand nous comprenons tout cela, nous pouvons partir en quête de ce symbole du tout que nous n’expérimentons plus. Nous comprenons que nous ne comprenons plus. Nous comprenons que nous comprenons mal. Nous comprenons alors, que nous devons comprendre au-delà de nos propres compréhensions et ainsi s’ouvrir à une voie de libération.

Tant que nous comprenons comme nous comprenons habituellement, nous ne sommes pas libres, puisque notre mauvaise compréhension nous enferme dans une réalité insensée et donc toujours plus illusoire. C’est ici que l’enquête ultime démarre. Alors comment comprendre autrement ?

L’autrement, ainsi, l’autre est toujours ce qui nous rend autres et différent. Diffèrent est notre réalité ordinaire et tant que l’on est différent, on n’est pas pareil et donc incompatible avec notre réalité unitaire. Ainsi, on doit chercher ce qui nous rend pareils, à ce que nous sommes déjà, soit de pure lumière.

La lumière que l’on cherche n’est pas apparente puisqu’on ne l’a jamais trouvée. C’est une lumière qui n’éclaire pas ce monde, mais un autre monde qui nous a été occulté depuis la nuit des temps. Cette lumière pourtant existe bel et bien et quand on s’y ouvre, on ouvre tout autant cette lumière en soi. Nous permettant alors d’éclairer tous les recoins sombres et non lumineux de son être. Permettant ainsi de nettoyer les lieux et de donner la possibilité à la vie réelle de reprendre les rennes.

Nous avons ainsi en nous des capacités inutilisées qui pourront nous servir quand nous aurons appris à les utiliser au fur à mesure de notre expérience. L’expérience est la voie, mais pas la voix mentale, puisqu’elle reste pour l’instant un leurre infini, un canal parasité de l’astral.

Quand on apprend à suivre l’expérience comme voie et plus sa tête, alors le monde s’inverse et ce que l’on reçoit en soi est là pour nous aider à avancer sur ce chemin de retour à soi. Ce retournement, ce fait quand on comprend que ce que l’on reçoit dans l’expérience de l’instant présent et plus dans l’expérience de nos croyances, est une chance de pouvoir se réaccorder aux hauteurs de sa vie.

Comme ce que l’on reçoit, reste une image inversée de ce qui est, c’est donc une image de ce qui existe réellement dans les hauteurs de notre être, mais qui arrive en nous de manière inversée, diffractée par les eaux dans lesquelles nous sommes environnés.

Quand on comprend qu’elle porte une vérité, mais qu’elle est sans cesse inversée, c’est à nous de la remettre à l’endroit, pour la redécouvrir dans sa réalité totale et donc emboitée. Afin de prendre conscience de ce qu’elle représente réellement au-delà de son inversion apparente.

Quand les deux images s’unissent, que le symbole redevient un, sa signification devient le signe, le mouvement signifiant réel, qui nous permet d’avancer un peu plus vers le centre de son être. Ainsi, dans sa vie, tout nous parle, mais de manière symbolique, car cela crée en nous une nouvelle compréhension, une nouvelle interprétation et donc une nouvelle façon de voir qui nous aide, peu à peu, à intégrer toutes nos divisions et surtout à émerger dans les hauteurs de son être authentique.

Ainsi, cette compréhension sacrée, permet de passer des eaux d’en bas vers l’au-delà, qui est la dimension réelle de notre être. Plus on expérimente cette manière de vivre et plus notre fonctionnement habituel change puisqu’il nous hisse au niveau fréquentiel, source, de là où nous nous trouvons sans cesse.

Nous sommes là-haut, et comme notre conscience a été entrainée à rester dans les eaux du bas, nous ne percevions en nous qu’une image inversée de tout ce qui se passait en haut. Nous sommes ainsi ce symbole vivant qui vit dans plusieurs réalités à la fois et c’est à notre conscience de pouvoir relier tous les point afin de retrouver l’expérience lumineuse qui nous entrainera peu à peu à rester ancré dans l’au-delà, là où se trouve le point du cercle qui reste la seule porte d’entrée de notre unité.

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