Entendre le chant de la conscience
À partir du moment où le flux de conscience s’agrandit dans notre expérience, on s’ouvre alors à un autre niveau d’expérience. On passe alors sur une octave différente de la réalité. C’est à ce niveau que l’on entend réellement, concrètement le chant de la conscience.
La conscience est une
et son champ d’expérience engendre sans cesse un chant qui lui correspond. C’est à travers ce chant, et donc dans l’ouverture à sa vibration, que notre propre conscience agrandit son expérience.
L’expérience du chant de la conscience ne peut se faire dans l’espace mental. L’expérience du chant de la conscience débute quand l’afflux de la conscience n’est plus perturbé par les implants énergétiques et archontiques.
Une fois que l’on s’est débranché des flux illusoires de la matrice et que l’on est sorti de leurs boucles infinies et mentales, la conscience s’expanse d’elle-même. C’est cette expansion de la conscience qui nous transfère vibratoirement sur l’octave réelle et concrète de la vraie vie.
La conscience est une
et son champ d’expérience engendre sans cesse un chant qui lui correspond. Quand la conscience est établie sur un flux illusoire, elle crée littéralement une réalité à sa mesure. Même si cette mesure est falsifiée et utilisée de manière à manipuler les consciences qui y sont établies, c’est cette démesure qu’il est important de percevoir.
Percevoir cette démesure dans laquelle nous sommes sans cesse happés et ancrés est très compliqué parce que le flux illusoire en soi agit de manière unilatérale pour nous raconter un monde que l’on prend pour réel. Mais ce réel en soi n’est basé que sur des croyances et jamais sur notre propre expérience.
Et c’est là où l’on doit percevoir que notre réalité ne peut pas passer au critère de notre propre expérience puisqu’une fois que l’on se tourne vers l’expérience concrète de ce que l’on croit, tout s’anéantit. C’est alors ici que l’expérience prend le dessus sur nos croyances, afin de nous acheminer à une prise de conscience étendue sur toutes les structures de croyances qui nous leurrent.
L’expérience, à force, nous ouvre la voie des mondes énergétiques qui sont les véritables mondes d’où naissent tous les autres. C’est à ce niveau d’expérience que notre conscience peut s’ouvrir au champ/chant de la conscience.
Alors notre conscience, établie dans le flux naturel de toute conscience, s’éveille à elle-même, s’élève à elle-même et donc s’enseigne à elle-même tout ce qu’elle est. Cette expérience unitaire permet une chose simple : être en phase avec la conscience.
Être en phase avec la conscience, c’est être la conscience, c’est expérimenter à travers elle. C’est un changement de paradigme complet qui émerge alors de l’expérience de tous les jours puisque tout s’exprime par la conscience, en chacun comme en tout le monde. Et même mieux à travers toute expression de la nature, des animaux, des végétaux, des minéraux, et même le vent, les montagnes, le soleil, la terre, tout est expression de la conscience.
La conscience est une
et son champ d’expérience engendre sans cesse un chant qui lui correspond. C’est à travers ce chant, et donc dans l’ouverture à sa vibration, que notre propre conscience agrandit son expérience.
La conscience, enfermée dans le flux mental, ne peut agrandir son expérience car il ne fait qu’établir ses croyances. Il établit et alimente toutes ses croyances à travers un flux ininterrompu de pensées. Ces pensées sont les vecteurs de ce qui le contraint et l’enferme en même temps.
Ce qui est fermé ne peut s’ouvrir à ce qui permet à toute chose de s’ouvrir comme à toute chose d’éclore. La conscience fermée sur elle-même, à travers des boucles infinies mentales, l’entraine dans un mouvement sans fin. C’est cette ronde infinie qui le piège dans son mouvement, qui l’enferme sans cesse.
Sortir de ce mouvement est la seule entrée à la conscience ! Rester dans ce mouvement infini, c’est rester dans un courant d’inconscience qui ne peut jamais finir, car il est là pour continuer indéfiniment.
La conscience est une
et son champ d’expérience engendre sans cesse un chant qui lui correspond. C’est à travers ce chant, et donc dans l’ouverture à sa vibration, que notre propre conscience agrandit son expérience.
Sortir de ce mouvement mental est la seule entrée à la conscience ! Sortir de cette dynamique des pensées incessantes est la seule entrée à la conscience ! Ne plus laisser créer en soi ce mouvement qui tourne indéfiniment en soi, est le chemin.
Le chemin ne se pense pas ! Le chemin ne peut qu’être arpenté et donc expérimenté. Et la conscience toujours nous renvoie ce qui se joue en soi, soit la fermeture ou soit l’ouverture.
Être fermé ou être ouvert, est la seule et réelle question qui soit à se poser ? Es-tu ouvert ? Es-tu fermé ? Si tu comprends cela, alors tu sauras comment tendre dans le champ de la conscience et donc tu sauras entendre aussi le chant de la conscience.
Et là alors, tout commencera pour toi ! Vraiment ! Totalement ! Complètement ! Car la Conscience est là, partout, en tout.