Ce monde en face de toi est là pour t’aspirer dans sa trame ! Tu es un combattant de l’extrême mais tu ne sais pas à quoi tu fais face ! Tout dans ce monde est là, pour te piéger, t’enfermer dans son vortex infernal. Tu ne perçois pas ce mouvement qui t’entraine et t’emmène dans un monde où tu n’existes plus et c’est bien là, tout le piège suprême.

Ce monde factice est l’ultime piège, la matrice même où tout peut être fait. Comme rien n’existe vraiment en son sein, il n’y a pas de limite au piège que tu affrontes, et pourtant les limites existent bel et bien, quand tu comprends enfin toute sa trame irréelle et donc tout son flux infernale.

Tu ne peux que te laisser faire, si tu y crois, si tu y adhères et donc si tu consens à jouer au jeu de l’infini mystère, dans cette crypte illusoire, dans cette trame imaginaire où se projette ce monde factice. Tout dans ce monde est néant et pourtant à travers tes pensées, tes croyances, tu lui donnes sans cesse du poids.

C’est cette attention qui génère alors son expérience et ce que tu vois, tu y crois et donc tu le vis. Ainsi tu dois apprendre à faire marche arrière, passer de ce que tu crois vivre, à travers ce que tu penses, vers ce sur quoi ton attention se focalise. Et percevoir alors, ce vortex qui t’entraine dans ce monde toujours plus éphémère.

Prendre conscience de ce piège est vital pour toi car sans cela, tu ne peux être armé pour te battre contre tout ce qui te dépasse. Comprends que tout, vraiment tout en ce monde illusoire, est fait pour capter ton attention et t’aspirer ainsi sans cesse dans les trames de leurs réalités délirantes. Comme rien n’existe en elles, c’est nous tous qui accouchons ces mondes sans fin. Nous sommes les accoucheurs de réalités toujours plus irréelles.

Tout doit venir au monde grâce à notre attention et donc à la lumière que nous projetons dessus. Nous donnons à travers notre attention, notre feu, et donc notre pouvoir de vie, à travers l’énergie qui s’écoule de nous pour donner vie à tout ce que nous voyons et donc à tout ce que nous croyons.

Nous sommes les créateurs inconscients de ces mondes qui nous enferment dans leurs trames sans cesse plus irréelles, et pour cela elles resteront constamment paradoxales. Le paradoxe est d’exister dans ce qui n’existe pas, enfin d’y être ainsi sans cesse enfermé.

Plus tu t’ouvres à cette réalité extérieure falsifiée, plus tu penses à elle, plus tu donnes de ton énergie à elle et plus tu l’alimentes. Tu deviens ainsi l’aliment de ce monde infernal, l’essence de ce monde démoniaque et tu ne le sais même pas, car tu ne comprends pas encore tout ce qui se joue en toi.

Tout se joue de toi car tu es devenu le jouet de dieux illusoires, de démons infernaux, d’entités occultes car cachées dans les trames de réalités que nous ne pouvons même pas concevoir. Dans ces univers énergétiques, d’autres mondes, d’autres vies adombrent notre réalité.

C’est eux, dans l’ombre de notre conscience, qui arrivent à pirater, en interférant tout notre flux mental pour exister à travers nous.  Alors à travers nous, ils accouchent de leur monde sombre et ténébreux afin qu’ils puissent s’y délecter dedans.

Nous ne voyons pas ce monde car ils interfèrent en nous, une autre réalité pour la caché, afin de l’utiliser par les pires d’entres nous.  Cette réalité mentale est l’interface de toute la manipulation comme de toute la prédation incessante de notre énergie.

Nous ne voyons pas ce monde mais nous pouvons le comprendre, et percevoir comment il agit et pourquoi il le fait. Ainsi nous pouvons faire apparaitre à notre conscience, ces parties cachées, ces rouages occultes, et donc toutes les articulations qui s’opèrent incognito en chacun de nous.

Nous armons ainsi nos consciences pour ne plus se laisser faire ! Ne plus se laisser faire, c’est percevoir où va notre attention et donc dans quelle réalité elles opèrent. Ces mondes, tous plus irréels les uns que les autres, sont faits de matière mentale qui peut alors alimenter des structures de croyances qui nous leurrent et nous désactivent de notre propre souveraineté.

C’est là où tout se joue sans cesse, dans nos consciences, dans notre esprit ! Percevoir qui a les commandes est la première étape, pour pouvoir ensuite les reprendre car sans ça, nous sommes voués à errer dans des mondes toujours plus illusoires. Perdu dans une inconscience béante où l’abysse sans cesse plus profond nous aspire et nous piège.