Ton véritable point de référence !
Le monde du dehors est là pour t’apprendre tout ce que tu ne comprends pas encore sur tout ce que tu es ! Pour l’instant tu te vois de manière extérieure, séparée et donc superficielle car tu as accès seulement à la superficie de ta vie, soit une couche t’apportant très peu de compréhension sur qui tu es.
Qui tu es, est le centre de toute ta focalisation car tout se résume à ça ! De même, tout tourne autour de ça, c’est le moteur même de cette spirale qui t’acheminera de spire en spire vers la redécouverte de qui tu es vraiment, soit au centre de ton être. C’est la base ultime car c’est ton véritable point de référence, tout le reste est juste une illusion pour te perdre dans les méandres de tout ce qui n’existe pas.
Tant que tu n’as pas pris conscience de ce point de repère c’est comme si tu avais perdu la boule ou plutôt la boussole pour t’indiquer où se trouve le nord. Ce point de référence est en toi : c’est ton centre ! Seul cela peut te donner la possibilité de retrouver tout ce que tu as oublié en venant dans ce monde. C’est pour cela que ton monde intérieur est si important car il est seul capable de te donner les repères et les informations pour retrouver la bonne direction de qui tu es vraiment.
Ce monde intérieur tu ne le connais pas car tu as grandi seulement avec celui du dehors ! Toutes tes références et donc toutes tes connaissances sont basées sur ce monde extérieur ! Tu ne te connais qu’a travers le prisme de tout ce monde extérieur mais tu comprends qu’il te manque une partie essentielle afin de mettre en perspective ce que tu vis de l’intérieur.
Ta focalisation extérieure est telle pour l’instant que tu n’imagines même pas pouvoir voir autre part ni même autrement tout ce monde extérieur ! Pourtant c’est à partir de cette idée, de cette impossibilité apparente que je te propose d’imaginer un plan de sortie de route de toute cette extériorité. Car si tu continus dans cette emprise tu ne pourras ni comprendre ni même envisager pouvoir sortir un jour de cet esclavage !
Tu es esclave de ce monde extérieur et tu n’en as même pas conscience ! Tu es enfermé dans une image qui sans cesse se projette sur les parois de ce monde. Tu te bats contre des ombres, contre tes propres ombres et tant que tu ne retourneras pas ton regard, tu ne pourras rien faire d’autre que de te battre contre du vent tel un Don Quichotte qui se bat contre des moulins à vents, les prenant pour les monstres qui se cacheront à jamais en lui !