Dépasser la matrice

Dépasser la matrice

Nous vivons à travers de multiples réalités. Ces réalités, nous n’en avons pas conscience au départ, pourtant elles apparaissent peu à peu dans le champ de notre conscience quand nous en faisons l’expérience. C’est pour cela que l’expérience est inhérente à notre évolution, puisque c’est à travers elle que l’on découvre toutes ces réalités inconnues.

Nous sommes actuellement tous pris dans le flot d’une réalité illusoire puisque ancrer dans le flux de la matrice artificielle. Dans ce champ éphémère, il y a de multiples routes temporelles qui ont comme axe et but, un cadre temporel et sensoriel qui nous enferme constamment à l’intérieur de son flux. Ces voies de perditions sont ce qui permet d’engendrer d’autres réalités tout autant illusoires, mais pour d’autres consciences qui finalement se repaissent de nous tous.

Quand nous avançons dans notre réalité artificielle et que nous commençons à percevoir cette chimère en nous comme dans notre réalité extérieure, il y a comme une brèche qui s’entrouvre dans notre bulle illusoire. C’est cela qui nous permet d’accéder peu à peu à la lumière réelle de ce que nous sommes authentiquement à travers la découverte de tout ce que nous avions oublié de Soi.

Plus on s’ouvre à cette lumière intérieure et plus elle nous montre tout l’illusoire de la bulle qui nous enferme dans toutes nos projections incessantes. Ainsi, cette lumière va nous éclairer de tout ce qui est sombre en nous et qui nous est sans cesse dissimulé, car tant que l’on ne découvre pas tout ce qui se cache en soi, on reste manipulable à travers notre propre réalité occulte.

Cette lumière à terme permettra de sortir de cette bulle mentale afin de pouvoir s’élever au-delà du plan matriciel qui nous contient depuis si longtemps. Une fois que l’on commence à sortir de la matrice, on s’ouvre à une ligne temporelle naturelle et authentique puisque véridique, en rapport avec notre êtreté et plus en relation avec notre personnage. C’est-à-dire que notre relation n’est plus issue de l’encodage archontique mais d’une programmation vivante, divine, et pour cela elle tend alors, vers notre libération temporelle et astralle.

Il est important de comprendre que la matrice qui nous enserre, n’a de but que de nous enfermer dans des flux illusoires dans lesquels nous tournons sans cesse à l’intérieur d’elle, sans jamais comprendre les stratagèmes mis en place pour nous perdre.

Les êtres archontiques, infernaux, autrement dit ceux qui n’ont plus accès à leur propre source et lumière, ont besoin de notre lumière, de notre source et donc de notre pouvoir pour créer des univers et des mondes dans lesquels leurs progénitures peuvent vivre et grandir.

La matrice artificielle et infernale provient d’eux. Ils sont ici les maitres de notre réalité puisqu’ils en sont les architectes. Ils sont invisibles dans notre réalité puisqu’ils ne sont pas à l’intérieur, mais ils sont la racine de l’illusion, et donc l’œil qui voit tout et qui projette l’illusoire de ce monde.

C’est pour cela qu’ils créent toutes ces stratégies d’illusions et d’enfermements pour coloniser tous les êtres qu’ils peuvent afin d’exploiter tout leur pouvoir de création comme toutes leurs ressources et énergies. Il est important de comprendre que ce pouvoir pourtant est à nous, mais comme nous avons tout oublié de ce que nous sommes vraiment, ils l’utilisent contre nous.

Pendant un temps, long ou bref, cela dépend de chacun, dans l’oubli de tout notre pouvoir incommensurable, nous resterons asservis et pris au piège de tout ce qui nous dépasse conceptuellement. Mais à partir du moment où l’on retrouve notre esprit et donc tous nos souvenirs de ce que nous sommes complètement, ils ne peuvent plus rien faire face à notre propre source et lumière puisqu’ils en sont dépourvus.

Et alors, nous sortirons naturellement de toute cette projection artificielle et nous retrouverons un autre monde, un monde à notre mesure, où nous deviendrons les vrais et seuls architectes. Ceci nous appartient mais seulement quand nous comprendrons qui nous sommes réellement.

Ce point est important, car dans notre vision limitée, nous croyons qu’ils sont la puissance extrême face à notre impuissance terrienne. Il n’y a rien de plus faux, tout ce qu’ils ont comme pouvoir sur nous, c’est de nous le faire croire. Ils n’ont que le pouvoir de persuasion et tant que nous sommes persuadés de ce qu’ils nous soufflent est vrai, nous serons soumis seulement à travers nos propres croyances et non face à leurs pouvoirs illusoires.

C’est pour cela qu’il est important de savoir que l’on doit à tout prix traverser toute notre réalité artificielle remplie de toutes nos croyances afin de ne plus jamais s’imaginer pour ce que l’on n’est pas. C’est seulement toutes les croyances qu’ils ont installées et préformées dans notre système de compréhension de notre réalité, qui nous font croire à être des êtres impuissants, inutiles, futiles.

Tout ce que j’écris est là pour vous montrer que vous pouvez traverser toutes les strates de vos croyances et comprendre l’illusion que cela engendre en vous. Et une fois totalement dépassé, vous vous verrez réellement pour ce que vous êtes, soit des êtres infinis et sans commune mesure puisque vous êtes la mesure de toutes les réalités.

Je vais ici mettre en forme intelligible, toutes ces réalités imbriquées pour vous donner une idée de comment fonctionne cette matrice infernale, de comment ils font pour nous y enfermer et surtout pour comprendre comment nous pouvons remonter à la source de notre être afin de retrouver une route temporelle authentique. Tout cela dans l’optique de ne plus jamais être parasité par l’immonde et donc de ne plus être le jouet d’êtres d’outre-tombe.

Notre monde est le siège de l’immonde, mais comme nous ne voyons rien de ce qui s’y passe, nous sommes aveugles à cet infernal monde. Pire, ce que nous voyons est sans cesse inversé et pour cela, nous comprenons notre monde exclusivement à l’envers. Voyant le beau pour ce qui est laid. Cherchant le vrai alors que c’est le faux, tout, réellement tout est falsifié puisque sans cesse inversé.

Ces êtres infernaux vivent dans cette inversion constante, mais à la différence de nous, eux, ils le savent et l’utilisent en toute conscience pour nous manipuler incessamment afin de nous y faire réagir et de nous prendre au piège. Notre réaction à ce qui n’existe pas valide l’illusion et nous y enferme à jamais dedans. Du moins jusqu’au moment où nous aurons appris à ne plus y réagir, puisque nous aurons compris que cela n’existe pas.

Voilà le tableau d’ensemble de cet enfer caché dans lequel nous sommes tous enfermés. Ce tableau matriciel est là comme cadre irréel dans lequel chacun suit une route temporelle illusoire. Tout est faux, mais tant que l’on croit que c’est vrai, nous y sommes comme incrustés, ancrés et donc enfermés à cause de la validation du prisme de toutes nos croyances.

Pour sortir de ce flux illusoire, il y a un moyen et ce moyen est le vide. Le vide permet de devenir spectateur de ce qui se passe en soi et donc, peu à peu, il nous permet de prendre de la distance à ce qui arrive. À force de distance, on perçoit mieux tout l’illusoire qui cherche à nous faire réagir.

Quand on perçoit cela, alors on peut ne plus se laisser avoir par l’illusoire extérieur comme par tout l’illusoire intérieur. Ainsi, on arrive à ne plus se laisser identifier par l’illusoire de sa vie. Moins on s’identifie à l’illusoire et plus on s’ouvre finalement à ce qui est réel et qui ne se montre pas, mais qui reste derrière les parois de l’illusoire. Cela ne se montre pas, puisque tout ce qui se montre est utilisé finalement pour nous feindre et donc pour nous faire y réagir tout en rendant invisible tout le réel derrière.

Sans réaction, sans identification, plus rien ne nous retient et donc ne nous entraine plus dans le flux illusoire de la matrice artificielle. Alors à ce moment-là précis, on s’élève vibratoirement, on remonte énergétiquement et si on se laisse être, alors l’être de son être prend en mais toute la direction de notre expérience.

Cette expérience sensorielle, puisque ici il n’y a plus d’expérience mentale, permet de s’élever au-delà de la matrice, ce que j’appelle au-delà de l’horizon des événements. Nous sommes sans cesse élancés dans le flux d’évènements dans nos vies, ainsi en face de nous, nous tendons constamment vers cet horizon des évènements que nous expérimentons sans cesse. Quand nous sortons de l’influence du flux matriciel, nous dépassons cet horizon des événements puisque nous tendons vers un autre horizon, une autre réalité qui dépasse le flux illusoire dans lequel nous avons été sans cesse pris au piège à travers son mouvement constant.

Arrivé à ce niveau, on commence à comprendre certaines choses, mais pour aider à les conceptualiser, je vais utiliser mes propres images et symboles issus de ma propre expérience d’en dehors de la matrice. Ici, je vous partage des conceptions qui sortent de l’entendement ordinaire. C’est pour cela que les symboles peuvent aider à donner une idée de tout cela afin d’occasionner l’agrandissement de votre carte de compréhension du Soi.

J’utilise les idées que peuvent engendrer les nombres quand on les perçoit comme aides conceptuelles initiatiques. Tout cela dans le but de montrer leurs correspondances à travers les idées de déploiement, de liaison et en définitive d’autorité. Par exemple, la réalité dans laquelle nous sommes tous enfermés est un cercle. Ce cercle peut se percevoir à travers le douze qui est l’expression du cercle, de sa circonférence.

Nous provenons tous du centre du cercle qui se symbolise par le un et qui a autorité sur tout et donc sur le douze. Entre le douze et le un, il y a le quatre à notre niveau qui est l’expression de ce que nous vivons actuellement, puis le trois qui permet d’engendrer le sept qui est le déploiement de notre réalité d’ici-bas à partir de là d’où nous provenons.

À travers cette base symbolique, je vais vous expliquer ce qui ne se montre pas et pour cela, c’est tout ce qui est occulté qui arrive à nous enfermer dans le déploiement d’une expérience sans sortie possible.

Reprenons, une fois sortis de l’horizon des évènements, nous sortons de l’influence du cercle, du douze et nous nous confrontons à l’œil qui voit tout, du moins à celui qui permet l’illusion matricielle. Il est un être du sept, de ce qui imbrique les évènements, quand le douze, finalement, contient l’expérience. Il a réussi à nous enfermer entre quatre murs qui ont pu former comme une bulle d’illusion mentale.

Tant que le quatre en nous se multiplie par trois et donc se projette dans trois autres dimensions, le douze se crée et nous y enferme, puisque finalement il nous contient mentalement. À travers le quatre dans lequel notre expérience s’ancre, la création des trois autres « quatre », symbolisent l’apparition de notre dimension mentale, des réalités temporelles illusoires de l’avant et de l’après dans lesquels on se projette sans cesse, comme de celles qui les lient ensemble, faisant ainsi disparaitre la réalité du temps présent qui est hors de douze.

C’est le processus que tous, nous vivons, car finalement, nous ignorons tous le pourquoi du comment, puisque nous y sommes constamment circonscrits. Il est important d’entrevoir la liaison de tous les sens des mots, comme des chiffres aussi, puisque du cercle, de la circonférence à ce qui circonscrit, l’idée générale est sans cesse la même.

Circonscrit parce que le douze est l’idée du cercle et cette idée est le mouvement de notre expérience de tournée sans cesse en rond à l’intérieur de son flot sans jamais comprendre l’idée de ce qui nous arrive et donc de pouvoir s’ouvrir au centre de l’expérience. Pour sortir du douze, ou du cercle, on ne doit plus se projeter dans les dimensions mentales illusoires, mais ajouter (plus multiplier) à son expérience ces trois dimensions manquantes afin d’en faire l’expérience.

Notre réalité est exprimée à travers le sept et non à travers le quatre ou même le douze, qui est juste une excroissance illusoire pour nous y circonscrire sans cesse et nous perdre dans son flux rotatif sans fin. Le sept est l’expression de notre réalité, mais comme nous ne faisons que l’expérience de quatre et de ses trois projections incessantes, le douze a fini par nous clouer dans son champ illusoire.

Ainsi, de quatre, on passe à sept, qui est la réalité expérientielle qu’a infiltrée hélas le demiurge ou l’archonte, en nous regardant de leur œil hagard, pour nous matrixer de leurs œuvres immonde. À travers le niveau ou le point de vue dans lequel ils sont orientés, ils ne peuvent voir que le processus d’inversion dans lequel, ils ne peuvent qu’agir puisqu’ils n’ont pas accès à ce qui se trouve derrière eux.

Ils ne perçoivent du monde que son reflet immonde, et à travers ses images et ses histoires inversées, ils peuvent à loisir faire tout ce qu’ils veulent, puisqu’ils en sont les maitres d’œuvres. Ici, on pourra facilement comprendre pourquoi tous les puissants font des pactes avec eux et aussi comment ils atteignent tant de puissance, tant de renommée et tant d’argent, car c’est à travers toutes ces chaines qu’ils les tiennent dans le néant de leur monde immonde.

Ils agissent exclusivement dans la projection de la lumière source de nos êtres. Ils ne peuvent comprendre, et donc percevoir ce qui se passe derrière ce jaillissement, puisqu’ils n’ont plus accès à leurs propres lumières puisqu’ils utilisent sans cesse la nôtre. Ce point est important à comprendre.

Donc, ils n’ont finalement de pouvoir que dans leurs créations illusoires et donc seulement dans la matrice artificielle. Au-delà, ils n’ont plus d’autorité, donc leur autorité ne provient que du sept dans lequel, ils œuvrent.

Nous sommes nous des êtres de l’Un et quand nous nous reconnectons à cet un en nous, c’est-à-dire quand nous refaisons son expérience en soi-même, alors notre autorité de l’un dépasse l’autorité des archontes du sept comme l’autorité des êtres de notre monde du douze.

Qui comprend cela réellement dans son expérience de vie, acquiert de nouveau toute l’autorité sur toute chose et tout être qui avaient avant autorité sur soi. Ceci est un concept qui permettra d’entrevoir réellement les choses telles qu’elles sont, puisque cela permettra d’inverser l’inversion de notre monde et de nous mettre à notre réelle place.

Maintenant, quand vous ne réagissez plus aux illusions mentales et que vos émotions ont été pacifiées, vous vous retrouvez au centre de votre être. L’expérience du vide apprend cela, ne plus réagir, c’est ne plus se laisser happer par le cercle et donc par le mouvement mental qui nous entraine à tourner constamment en rond sur soi-même.

Sans réaction, sans émotion, juste dans l’ouverture à ce que l’on ressent, on se laisse être. Dans se laisser être, on sort finalement du douze et donc de toutes les circonférences mentales que l’on a créées en soi. On sort intérieurement, naturellement, simplement par le centre de son être.

Au centre de tous les cercles, comme au centre du seul quaternaire que l’on connait, on commence à expérimenter les trois dimensions qui nous manquaient. Ces dimensions sont en soi, et seul l’expérience au-delà du mental peut nous y ouvrir.

Je suis obligé de me répéter sur quelques points, car comme vous n’êtes pas du tout habités à ce genre d’expérimentations et donc de compréhensions, je dois utiliser de nombreuse fois des mêmes idées comme des mêmes choses afin de creuser en vous une voie sûre de compréhension.

Ce centre vous permettra alors d’expérimenter, en plus de vos quatre dimensions habituelles, les trois autres cachés et utilisés par l’être qui vous piège sans cesse en vous manipulant caché au-delà de votre expérience terrestre.

Ces trois autres dimensions permettent de trouver la sortie et sans elle, vous seriez à jamais coincé. C’est pour cela qu’il est important de comprendre votre rapport habituel dans votre train-train journalier qui vous ancre sans cesse dans les trois dimensions mentales dans lesquels vous vous projetez sans cesse.

Tout est utile dans l’expérience, mais l’utilité dépend de celui qui l’utilise. Ainsi, trois dimensions peuvent vous perdre à jamais si vous ne comprenez pas qu’elles sont utilisées par d’autres que vous afin de vous perdre à l’intérieur. Ou sinon, en comprenant l’utilisation de ces trois dimensions idéales, vous pouvez aussi totalement comprendre le rapport qui existe avec les trois dimensions que vous avez besoin d’ajouter dans votre expérience, sans jamais plus les multiplier.

Ce ne sont pas des jeux de mots ou d’idées, mais réellement un jeu de moi ou de soi. Ce « je » tel un curseur, c’est vous-même qui le placez, et là où il se trouve, il percevra alors, constamment, les choses de manières entièrement différentes.

Ces trois dimensions mentales qui génèrent le douze et donc les cercles sans fin dans lesquels vous tournez sans cesse comme des rats à travers leur roue, sont issues de ce jeu sans fin dans lequel vous vous imaginez être, sans l’être réellement. Quand vous percevez enfin le jeu, vous sortez du « je ».

Sortir du jeu, c’est sortir de tous ces cercles illusoires que l’on a créés tout au long de sa vie et dans lesquels nous tournons sans cesse, sans jamais plus ressentir notre centre. Pourtant, c’est quand nous sortons des jeux sans fin que nous pouvons ressentir à nouveau le centre de notre vie.

C’est exclusivement dans le centre que tout se joue vraiment, puisque toutes nos projections proviennent de là. À force, ce centre se réexpérimente à nouveau quand nous ne sommes plus pris dans le mouvement illusoire de tous les cercles infinis de notre vie. Ainsi, nous passons du douze au quatre pour finalement apprendre à nouveau à expérimenter le sept à travers les trois dimensions qui ont été occultées tout au long de sa vie.

C’est pour cela que pour expérimenter ces trois autres dimensions, on ne peut le faire mentalement, mais seulement à travers notre sensation. Une fois que l’on s’ouvre à la sensation de son corps, on accède aux dimensions énergétiques qui nous permettront d’atteindre la dimension informationnelle ou originelle. À travers ce cheminement sensoriel, énergétique et puis informationnel, nous nous élevons jusqu’à atteindre l’horizon des évènements.

Ici, nous nous retrouvons face à une expérience paradoxale, qui peut se formaliser à travers l’image de l’Ouroboros. Nous expérimentons un principe d’auto-alimentation, ou pour le dire différemment, nous nous mangeons nous-mêmes (symboliquement bien sûr) afin de nous fondre dans l’état adéquat qui pourra nous permettre de remonter encore plus haut.

Nous sommes ce serpent qui se mange lui-même afin de s’alimenter de tout ce qui ne sert plus en ces autres réalités. C’est un processus étrange qui nous permet de nous assimiler à tout ce que nous sommes réellement.

Dans cet état, il n’y rien à faire, puisque tout se fait sans vous, et tout ce qui n’a plus rien à faire dans votre expérience est mangé, ou assimilé et digéré. Ainsi, à force, il ne restera que l’essentiel de ce que vous êtes.

C’est grâce à cet essentiel que vous pourrez alors à nouveau vous élever afin de passer dans différents bains qui serviront à vous nettoyer de ce qui reste encore de trop lourd pour la suite. Ces bains quantiques vous feront passer de votre forme actuelle en une onde immatérielle et lumineuse.

Finalement, nous sommes tous cette onde venue expérimenter dans la forme de ce monde, même immonde, et tout le processus de retour sera exactement comme le processus d’arrivée. Nous ne pouvons imaginer ce que c’est une réalité où nous nous retrouvons tel une onde, mais cette réalité est, et nous sommes tous dans cette réalité, attendant que la partie qui est partie sur terre puisse enfin revenir et nous raconter toutes ces merveilleuses aventures…

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