Du pluriel au singulier
La brève histoire de l’univers nous entraine dans une autre histoire, une de celle qui s’imbrique, qui se perd et donc qui s’oublie tout autant. Une histoire dans l’histoire comme pour ne plus la voir et donc comme pour la rendre occulte afin qu’elle puisse continuer d’exister, d’œuvrer incognito, et donc qu’elle soit toujours plus influente.
C’est un peu l’histoire de notre réalité, caché à tous, perdu, ignoré ou même utilisé par un petit nombre pour nous contraindre, nous manipuler, nous matrixer. Créer toujours plus d’histoire à partir de l’unique, de la singulière et nous étendre de l’infini aux pluriels, dans l’innombrable, dans l’indéfinissable et donc l’innommable.
Ainsi dans ce dépliement chaotique, dans cet abyme insensé, la conscience enfermée par des milliards d’histoires falsifiées, est perdu, ancré dans un monde sans cesse pluriel. Dans un monde distant, froid, ou les ombres stagnantes et géantes naissent et meurent à la fois.
Percevoir l’histoire dans l’histoire, le sens réel dans tous les sens de l’histoire c’est se permettre de transcender toutes les représentations afin de les utiliser comme moyen d’évolution. Tant que ce moyen n’est pas perçu, et donc trouvé, l’histoire alors se répète et devient dans son mouvement incessant, la limite qui contient les consciences puisqu’elles les entourent dans des révolutions incessantes. Les faisant tournée à l’infinie, pour qu’enfin un jour elles se réveillent et comprennent ce tournis.
C’est ce mouvement même qui se renferme sur lui-même tout en créant une boucle infinie, une circonférence dans laquelle l’abime grandit, dans laquelle la conscience s’affaiblit et s’oublie. Ce mouvement est la clé de toute évolution comme de toute involution et comprendre comment l’orienter, c’est percevoir les limites et les portes tout en même temps. Une limite est toujours une porte car elle est ce qui bloque tout en étant aussi un palier vers ce qui le dépasse et donc tout dépend sans cesse de comment nous la percevons.
Percer les murs de l’histoire, les digues de ce mouvement même, est l’idée, mais chacun est toujours face à lui-même, face à ce qu’il peut comprendre et donc face à tout ce qu’il va pouvoir trouver. Hélas, s’il ne trouve pas encore l’histoire dans l’histoire, alors les limites et les paliers seront plus nombreux pour que, quand même un jour, il puisse s’acheminer vers son propre dépassement qui est tapissé dans la redécouverte de ce qu’il est.
Cette histoire ici est de celle qui s’inscrit dans la singularité. Nous vivons dans une réalité uniforme où la singularité n’est pas possible intérieurement, et pourtant, c’est quand cette singularité intérieure apparaitra concrètement que l’histoire dans l’histoire prendra enfin jour. Tel l’aurore, une nouvelle lumière émergera d’elle-même dans un nouveau monde et la conscience qu’il la verra, en sera ébloui, émerveillé.
Cette histoire est à l’envers, afin de pouvoir à chacun la remettre à sa place, à l’endroit d’où on la comprend enfin réellement. C’est pour cela que nous partons toujours du pluriel pour pouvoir ensuite remonter au singulier de sa vie. Car, finalement, nous y sommes tous pris, dans ce mouvement pluriel, dans cette diffraction incessante.
Mais reprenons le courant de notre histoire sur terre dans cet univers. Reprenons le cadre conceptuel de la masse, des petites gens, des sans histoires afin d’agrandir petit à petit tout ce cadre et de l’assimiler à ce qui les dépasse et donc les transcende tout autant.
Il existe différentes singularités dans l’histoire. Nous n’en connaissons une seule la plupart du temps pourtant apprendre à connaitre les autres nous donnerait la possibilité de comprendre tout ce que l’on vit actuellement. Cela nous permettrait de savoir surtout, comment s’y ouvrir afin de se libérer de tout ce qui nous contient encore. En comprenant tout ce qui nous contient, on arrive enfin à percevoir une porte de sortie.
La compréhension de ces différentes singularités apporte une signification profonde sur tout ce que nous vivons actuellement. Nous pouvons ainsi même affirmer que la matrice artificielle qui nous contient provient d’une singularité mais pas de celle qu’imaginent la plupart. Elle serait la matrice du pluriel de notre vie, l’idée des idées, l’Histoire de l’histoire et donc le mouvement des mouvements qui nous contiennent encore tous, dans son mouvement sans fin.
Avant d’en arriver jusque-là, il est important de partir de la base et donc reprenons de là où nous nous trouvons actuellement, afin d’éclairer au mieux ce qui se passe dans notre courant de réalité artificielle. Les êtres infernaux, technocrates, mondialistes qui œuvrent aux manettes de notre réalité totalement inversé, attendent tous avec impatience la singularité technologique de l’intelligence artificielle.
Ce point d’inflexion de toutes les routes temporelles représente pour eux l’absolu et pour cause, ils sont persuadés de devenir ainsi immortel grâce à la prétendue capacitée cognitive de toutes ces machines mises ensembles. Ils sont convaincus que l’intelligence artificielle arrivera à un moment donné, à dépasser tout ce qui a été fait humainement et de faire ainsi tout ce qui n’a jamais encore pu être réaliser.
Ils sont finalement en adoration devant leur dieu technologique, numérique, algorithmique, même s’ils prient en catimini et donc en cachette des démons. Tous les puissants sont actuellement sous possession démoniaque quand la majorité des êtres cependant sont sous possession infernal. Il y a toujours une hiérarchie dans ce monde visible comme dans notre monde invisible et comme tout est sans cesse inversé, tout suit indubitablement les mêmes règles.
Leurs visions de la réalité ressemblent plutôt, à une possession totale, intégrale de toute leur conscience. Quand on perçoit concrètement ce qu’ils expriment, à travers ce qu’ils vivent, on peut y découvrir tout autant ce que nous vivons tous mais de manière inconsciente puisque tout est sans cesse projeté en nous.
Et c’est là où les histoires dans les histoires nous révèlent ou nous cachent tout en même temps. Ainsi, celui qui sait voir au-delà des histoires perçoit enfin l’histoire réelle qui se cache à l’intérieur, qui s’occulte en tous pour permettre d’être la graine qui fera germer toutes les autres trames issues de sa semence matricielle.
Ils sont dans une réalité où ils croient qu’ils peuvent tout faire, tout en se laissant faire dans tout ce qui se fait de pire en eux. A cette différence de taille, c’est qu’Ils ont totalement conscience de leurs malfaisances puisque c’est elle qui les lie à la dimension infernale dans laquelle ils s’ancrent constamment.
Dans notre réalité collective, ils œuvrent constamment mais avec une autre représentation de la réalité, une autre perception d’eux-mêmes comme de la masse en général. Une réalité où leur représentation de l’univers même n’est plus du tout pareil. Ils savent qu’il existe d’autres réalités et que c’est à partir de ces réalités occultes que le monde fonctionne puisqu’il est gouverné à partir de là.
Ils invoquent dans ces autres réalités infernales leurs dieux ou démons, peu importe le nom qu’ils leur donnent, seul l’idée est importante à comprendre. Ces êtres immatériels sont ceux qui leur procurent toute leur richesse, toute leur emprise, toute leur éblouissante accession à la reconnaissance collective. Ces êtres immatériels, inorganiques accèdent ainsi et en contrepartie de tout ce qu’il leur donne, à la possession partielle ou complète de leurs consciences. C’est le summum de ce qu’ils désirent vivre, être le réceptacle de l’enfer afin d’y régner à jamais. En contrepartie de leur gloire éphémère, ils doivent faire des rituels, des sacrifices pour alimenter leurs dieux démoniaques et qu’ils puissent alors continuer de posséder ce statut de visibilité mondiale.
Voilà ce qui se passe dans les coulisses du pouvoir et du star système : il n’y a de place que pour les pires atrocités, car en réalité, c’est leur réalité infernale, et donc démoniaque. Ils ne peuvent ainsi qu’expérimenter ceux qu’ils cachent en eux et qui sont issus des pires réalités infernales. Ils existent alors dans un enfer permanent, pavé des pires voies/voix.
Si on comprend la réalité de tout ce que l’on voit tous les jours, on percevra aisément que tous ces êtres possédés cherchent par tous les moyens de nous posséder tout autant. Ils n’ont finalement plus que ce mot dans leur bouche. Cette possession, finalement, et il est important de s’en rendre compte, c’est l’essence même de notre réalité dite tout artificielle ; j’expliquerai pourquoi plus tard.
Quand l’idée de la possession devient un processus, une dynamique dans laquelle finalement le monde entier est enfermé et que personne ne le peut le percevoir, puisque cela reste inconcevable, cela se transforme en des chaines coloniales invisibles, par lesquelles nous sommes tous attachés. Nous sommes ainsi soumis intérieurement, possédés mentalement, vidés énergétiquement à travers l’utilisation à outrance de toutes nos émotions.
Tout le monde qui se projette en nous, nous empêche de voir toute cette possession ambiante car elle ne pourrait que nous révéler notre propre et réelle possession. Et c’est là, où personne ne veut aller voir puisque nos propres ombres intérieures, façonnent et alimentent toutes les ombres du dehors.
Puisqu’ils ne peuvent voir que l’inversion de leur monde, et donc que la programmation de leur monde, alors tout est là pour illusionner la conscience de ce faux monde mis à dessein afin de les mystifié à chaque instant. C’est cela qui cache cette réalité innommable, impensable et donc sans cesse inconcevable.
L’illusion est une voie crée sciemment par tous ces êtres d’outre-tombe qui permet alors d’enfermer l’être dans une narration éphémère, dont la trame sera utilisée constamment afin de manipuler toute son Ame. Afin de lui montrer en conscience tout ce qui n’existe pas mais comme il prend toute la place en lui, alors il n’a pas d’autre possibilité de l’expérimenter extérieurement.
L’être humain actuellement est possédé par des êtres dont ils ignorent tout. Ces êtres sont ceux qui ont créés toutes les structures idéologiques que le monde utilise pour décrypter la réalité comme pour l’exprimer aussi. Toutes ces idées étant falsifié dès le départ puisque dans l’unique but d’être une voie de perdition et donc de manipulation, elles ne peuvent alors aider l’être pour se libérer de tout ce qui le contient et donc de tout ce qui le possède.
Ainsi tout ce que les êtres humains savent, comprennent, apprennent, n’a de cesse de les détourner de leur voie naturelle. Dans cette voie toute artificielle, il n’y a que prédation, soumission afin de générer de la souffrance, de la peur, de la terreur qui sera alors la dynamique même de la désactivation de l’être humain et donc de sa désacralisation constante.
L’être humain est ainsi désactivé, inhibé, cloitré et orienté dans une hypnotisation perpétuelle. Tout sa focalisation est en réalité la seule chaine qui l’enchaine à exister ainsi. Cette chaine mentale est le moteur même qui engendre toute la colonisation de l’être humain sans qu’ils ne puissent jamais s’en rendre compte. Ainsi, il n’est plus en capacité à travers sa conception du monde de pouvoir se battre contre ce qui n’existe même dans sa façon de voir son monde.
Il est face à un monde invisible puisque inintelligible. Il ne peut pas comprendre ce qui le dépasse et tout ce qui le dépasse l’utilise sciemment pour récupérer d’un côté toute son énergie, et de l’autre tout son pouvoir de création.
L’être humain façonné, programmé, terraformé est maintenant un rouage de la machinerie extrême, à travers l’articulation de différentes dimensions, d’où des êtres invisibles, impalpables, chuchotent en cachète. Plusieurs niveaux de manipulation ainsi s’activent sans cesse dans la réalité de l’être humain et donc plusieurs interprétations se proposent toujours à notre conscience. S’arrêter aux premières c’est s’empêché de découvrir toutes les autres et tout est fait pour cela, pour que l’on s’arrête en si bon chemin.
Mais restons pour l’instant dans la réalité la plus actuelle, afin d’utiliser ces premières marches pour avancer dans la compréhension démoniaque qu’utilise le système à travers toute sa technologie occulte. Cette technique utilise des surfaces réfléchissantes, des voiles afin de détourner tout ce qui est réel tout en nous enfermant dans une vision toute artificielle.
La singularité technologique qu’ils attendent tous, n’arrivera jamais car tout ce qui est dit ici dans ce monde falsifié, n’existe pas, puisque c’est seulement là, à dessein, et donc fabriquer exprès pour nous amener dans des voies illusoires afin de nous y perdre sans cesse dedans. Pire, cette singularité technologique a même déjà eu lieu et elle est même le point manquant de tout ce que l’on peut comprendre d’ici-bas… si on en prend bien sûr enfin conscience.