Les terres inconnues
Nous voilà face à de nouveaux mondes, de nouvelles réalités, et elles sont symbolisées par toutes ces terres inconnues qui nous entourent et dont nous ne savons pratiquement rien. Avons-nous réussi à transcender toutes ces représentations en nous qui nous les cacher sans cesse ? Là est la question, car sinon comment pouvoir s’ouvrir à quelque chose qui n’a pas de place en nous.
Avons-nous su voir toutes ces vielles cartes qui nous montraient notre monde de manière falsifiée ? Avons-nous pu percevoir enfin que toutes les représentations du système existent seulement pour nous enfermer dans des réalités irréelles où seuls les murs et les limites persistent ? Là est leurs voies, car là est leurs visions, une réalité de murs infranchissables et de limites toujours plus cloisonnantes !
Nous ne sommes pas responsables des cartes que l’on nous a transmises, mais nous devenons responsables quand nous arrivons à voir enfin toute cette falsification, afin de pouvoir faire le ménage en nous et découvrir alors, le monde tel qu’il est et non plus tel qu’il continue sans cesse de nous le montrer. C’est à nous de sortir de limites du système et personne ne pourra le faire à notre place.
Ne nous arrêtons pas en si bon chemin, car s’arrêter, c’est baissé les bras et se laisser écraser par tout le système qui ne cherche que ça. Nous sommes là pour créer de nouvelles voies de passage qui partiront de ces terres connues vers ce nouveau monde et donc dans toutes ces nouvelles terres derrières les parois et les murs soi-disant infranchissables.
Non, rien n’est infranchissable si ce n’est de continuer à le croire, tout est toujours possible pour celui qui croit en lui. Tout ce que nous apprend le système est de nous faire croire que nous ne sommes pas capables. Nous sommes en effet incapables pour l’instant de vivre une vie réelle et authentique puisque qu’il nous a inculqué, transplanté une vision falsifiée de notre monde et pire de notre être.
Ceci est la base à comprendre pour tendre vers tout ce qui se cache derrière, tant que nous resteront circonscrits dans l’illusion du système, nous n’aurons pas les armes pour comprendre toute cette fausseté parce qu’elle sert seulement à cela, à nous faire croire à tout ce qui n’existe pas et qui ne pourra alors, jamais nous aider à sortir de l’illusion même dans laquelle on baigne.
Nous sommes enfermés dans un bocal mental où s’auto-alimente notre structure mentale et tant que l’on s’identifiera à elle, nous ne pourrons jamais découvrir ce qui existe réellement sur notre monde. Notre monde pour l’instant n’est qu’une projection chimérique dans laquelle nous croyons exister, mais qui est complétement falsifié pour nous faire croire que nous sommes incapables de vivre normalement. Impuissant devant le monde ou plutôt devant la représentation que nous en avons.
C’est cette représentation qui pèse sur vous actuellement et tant qu’elle n’est pas vu pour ce qu’elle est, elle restera le champ même qui vous enferme à ne pouvoir voir le monde qu’à travers sa propre diffraction. Cette diffraction ne peut vous montrer exactement ce qui est là, mais seulement tout ce qu’elle surajoute. Créant une réalité irréelle puisque virtuelle, car vu à travers des conceptions et des jugements qui ne sont pas en rapport avec la réalité authentique, mais uniquement à travers des croyances insensées et interposées.
Un autre monde existe et il est au-delà de nos croyances limitantes. Si nos croyances ont été les limites qui nous ont empêché de pouvoir les découvrir, elles peuvent devenir tout au contraire les nouvelles routes qui nous permettront de pouvoir nous y ouvrir. Nos croyances ne sont pas un piège dans lesquelles nous devons inexorablement tomber, tout au contraire.
Quand nous commençons réellement à prendre conscience de leur pouvoir, nous pouvons les utiliser en toute conscience pour nous permettre de pouvoir vivre une vie plus enrichissante et plus équilibrante. Pour cela, il suffit de modifier nos croyances afin de pouvoir élargir nos cartes intérieures et ainsi toutes nos représentations. Là où il y avait des murs infranchissables avant, créons alors des passages, des ouvertures pour inclure tout ce qui se cache encore en nous.
Ainsi, au lieu d’exclure notre monde à travers de fausses idées, nous pouvons inclure de nouvelles idées qui sont là pour nous permettre de transcender toutes les limites qu’à terraformer le système en nous. C’est ici, que nous sommes véritablement créateurs de nos nouvelles représentations, c’est ici, réellement, qu’il faut apprendre comment reprendre tout notre pouvoir.
Il y a différentes manières de se représenter notre terre, le plus important n’est pas la forme qu’elle a, mais plutôt, comment nous sommes liés aux autres terres, aux autres réalités d’existences. Ce côté-là est très peu exprimé et pour cause, car cela montre, littéralement, pourquoi et comment sont utilisées toutes ces représentations.
Premièrement, écartons les courants d’idées différentes sur les formes de la terre. Ces courants d’idées sont là seulement pour diviser et nous perdre dans des conceptions non significatives et non pertinentes, pour la compréhension de notre réalité. L’idée ici est d’utiliser différentes formes qui restent toutes basés sur des limites, pour nous imposer une représentation de notre terre. Que notre terre soit ronde, plate, carré ou sur le dos d’une tortue, cela reste une représentation qui est orientée par les limites même qu’elle supporte et là et tout le nœud du problème.
Tant que cette représentation restera ancrée sur une perspective limitée, elle servira seulement à nous limiter. Voilà toute l’idée à comprendre de toutes nos représentations afin de pouvoir nous ouvrir à des représentations qui nous ouvrent sur ces autres réalités.
Essayons de percevoir différentes représentations de notre terre par rapport à celle qui est commune à tous dans le but d’entrevoir des voies de passages, et donc des ouvertures de consciences pour comprendre comment mieux nous ouvrir l’esprit. Tout est toujours dans nos perceptions qui sont basées toutes sur nos représentations, c’est ici que tout se passe, tout ce qui nous limite comme tout ce qui nous ouvre.
Symboliquement, nous cherchons à nous ouvrir à des terres inconnues, qui sont l’image même en nous de tout ce que nous ne connaissons pas dans notre réalité extérieure comme aussi dans notre vision intérieure. Sans l’ouverture de cette vision intérieure, nous sommes voués à ne chercher que ce que nous connaissons, mais si nous arrivons à percevoir que cette vision même est la limite qui nous empêche de nous ouvrir à l’inconnu, alors c’est cette vision même qu’il faut apprendre à modifier.
Pour pouvoir modifier cette vision, nous avons besoin de nous confronter à d’autres visions afin d’en créer une à notre mesure et donc à notre convenance. La vision actuelle de notre terre est une planète qui tourne autour du soleil dans le vide de l’espace, avec d’autres planètes qui tournent, elles aussi, autour du soleil en étant plus ou moins rapprocher de lui. Cette vision est partagée par le plus grand nombre sur notre terre. À travers cette perception, dû à cette représentation, nous nous en servons comme base et repère de notre humanité afin de vivre à travers toute la forme de cette idée.
Il existe d’autres représentations comme celle d’une terre infinie ou existeraient une multitude d’autres terres inconnues à nous et où vivraient d’autres peuples extraterrestres. Chaque monde serait sous un dôme qui délimiterait à chacun son espace de réalité. Toutes ces terres seraient sur un océan immense qui relirait chaque terre entre elle. Ainsi, dans cette vision, nous serions dans nos terres connues, entouraient de terres inconnues qui seraient sans cesse accessibles par l’eau.
Si cette représentation était plus authentique que la nôtre, pourrions-nous nous poser la question de pourquoi avoir fabriqué une représentation si différente ? Là est une bonne question pour comprendre pourquoi ceux qui nous gardent sous leur coupe auraient créé une vision si différente.
Imaginons que pour nous coloniser correctement, ils ont eu besoin de nous parquer sous un de ces Dômes. Puisque par la voie nautique, il est possible d’aller dans d’autres terres extraterrestres, ils ont créé tout autour du dôme, un mur infranchissable de glace qui atteint des sommets. En plus, de cette limite extérieure, ils se sont dits comment enfermer cette humanité sans qu’ils aient envie de pouvoir en sortir ou simplement qu’ils aient la curiosité d’aller voir à côté.
Ils ont trouvé un moyen imparable qui fut de créer une représentation avec laquelle la terre ne serait plus une terre infinie, mais une planète finie où seules les terres connues y seraient comme contenues. Dans cette vision, les autres terres deviendraient des planètes et pour le coup, elles deviendraient, par la force des choses, sans cesse inatteignable. Voilà l’idée infernale des ces gardiens extraterrestres pour nous enfermer dans une représentation falsifiée de notre terre qui nous empêche, à travers la création de fausses limites, de pouvoir nous ouvrir à ce qui est à côté de nous, mais que restera alors à jamais inconnues puisque que l’on ne peut même pas l’imaginer.
Je ne dis pas que cette vision soit réelle, elle reste pourtant une représentation de notre réalité mais où, à la place de toutes les limites que l’on connait, on peut y découvrir des liaisons, des passages avec lesquels l’on peut enfin pouvoir s’ouvrir à la réalité inconnue qui nous contient tous. Comme toute forme de croyance nous appartient et habille notre réalité extérieure, ces deux visions sont réelles pour ceux qui y croient.
Ils existent tout autant de vision de la réalité que de personne qui la regarde. Chacun à sa vision et chacun vit ce qu’il voit à travers ce qu’il croit. D’où l’importance de croire à une vision orientée vers sa propre ouverture afin de ne plus se laisser berner par des représentations limitantes qui nous induisent à ne pouvoir s’ouvrir à notre réalité authentique.
Au-delà de cette autre vision, existe aussi une autre représentation ou notre plan d’existence serait une hypersphère et où chaque terre serait sur une de ces couches vibratoires. Ainsi, en plus de posséder une infinité de terres sur un océan planétaire gigantesque, existerait tout autant d’autre couche vibratoire, comme d’autres paliers d’existence, créant ainsi ce réseau avec lequel l’hypersphère lierait par l’eau du bas et l’au-delà toutes ces terres comme tous ces plans d’existences.
L’eau serait ici le moyen pouvant tout contenir comme aussi le vade-mecum de toute transmutation afin de permettre à l’être de pouvoir accéder à des terres et des réalités inconnues, toujours en correspondance avec sa propre vibration. Dans cette vision ultime à notre humanité, il n’y a plus de limites, mais seulement l’expérimentation adéquate de ce que l’être porte en lui et donc de ce qu’il expérimentera.